Dans les parcs et réserves naturels, c’est généralement de nuit que sont traqués les braconniers d’animaux sauvages.
Et comme il n’y aura de toute façon jamais assez de rangers pour patrouiller sur le terrain, des drones équipés de caméras thermiques sont désormais de la partie. Problème : l’image n’est pas toujours de bonne qualité et la source de chaleur détectée peut émaner aussi bien d’un braconnier que d’un animal.
C’est exactement pour lever ces ambiguïtés et pour épargner aux rangers l’analyse fastidieuse du flux vidéo, qui retarde une éventuelle intervention, que des chercheurs de l’université de Californie du Sud ont conçu l’algorithme SPOT (Systematic POacher deTector). (…)
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