- Le laboratoire CNRS Chrono-environnement de l’université de Franche-Comté fait appel aux escargots comme bioindicateurs pour évaluer la qualité de l’environnement.
- « L’escargot est idéalement situé à l’interface entre le sol, les plantes et l’air. Il mange le sol et la végétation, et il possède un poumon dans lequel on peut retrouver des particules ». Les scientifiques peuvent alors, lors des analyses, trouver différentes sources de contamination.
- Cela permet notamment de développer un outil utile et facilement reproductible servant l’évaluation du risque environnemental lié à la contamination des écosystèmes terrestres
La suite de l’article sur le site de 20 minutes cliquez ici