Les « 12 vilains » auront-ils la peau des oiseaux de l’Antarctique ?
Cette catégorie de polluants organiques persistants (ou POP), interdits depuis plus de 40 ans et connus comme étant les contaminants les plus répandus et les plus nocifs pour l’environnement, semblent affecter le succès reproducteur des skuas antarctiques (Stercorarius maccormicki).
C’est la conclusion d’une étude menée par le Centre d’études biologiques de Chizé (La Rochelle), le laboratoire Environnements et Paléoenvironnements Océaniques et Continentaux (Bordeaux) et l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, parue dans la revue Science of the Total Environment. (…)
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