Un bûcher encore ardent d’abeilles trône sur le terrain de Thomas et Claire, apiculteurs en Bretagne, contraints de réduire en cendres « 90% de leurs ruches et une année de production« .
Désemparés, ils en appellent à une prise de conscience collective sur les dangers des pesticides.
« On s’est installés avec enthousiasme« , raconte Thomas Le Glatin, 32 ans, devant son amas d’abeilles mortes et cadres de miel putréfiés.
Installé en 2017 à Ploërdut (Morbihan), le producteur de miel bio avait 180 ruches. « J’en ai perdu 150 à la sortie de l’hiver« . (…)
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