« Souffle! » En pleine Méditerranée, le voilier Blue Panda du WWF navigue à une vingtaine de kilomètres des côtes françaises quand retentit le cri signalant une baleine. Aussitôt, l’équipe de scientifiques chargée de mesurer l’exposition des cétacés à la pollution plastique se met en branle.
Trois observateurs scrutent la mer à la jumelle depuis un pont surélevé pour suivre le déplacement du rorqual commun. Sur une fiche, ils notent l’espèce détectée, le nombre d’animaux, l’endroit où il a été vu, sa vitesse…
Ils indiquent l’heure à laquelle le mammifère marin, visible à plusieurs centaines de mètres par son seul souffle, parfois par sa nageoire dorsale, affleure à la surface avant de plonger. Dix, douze minutes plus tard l’animal, deuxième plus gros au monde après la baleine bleue avec 70 tonnes, remonte respirer. (…)
La suite de l’article sur le site de GEO : cliquez ici