En Irak, les poissons morts se ramassent à la pelle. Ce sont des milliers de carpes qui flottent à la surface de l’eau, l’oeil vitreux, dans la province irakienne de Babylone depuis début novembre 2018.
Au grand dam des pisciculteurs, qui ne pêchent plus que des animaux morts.
Les causes de ce mal demeurent un mystère : « Certains disent que c’est un virus, d’autres que ce sont des produits chimiques », rapporte à l’AFP le pisciculteur Hussein Faraj, en balançant un cageot de poissons morts aux écailles argentées hors d’un de ses bassins. (…)
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