Alors que l’Unesco s’inquiète de l’état de santé de la Grande barrière d’Australie, le récif corallien de Nouvelle-Calédonie, lui-aussi inscrit au patrimoine mondial de l’humanité, demeure un joyau naturel bien préservé.
«Sur les zones inscrites au patrimoine mondial en 2008, les récifs se portent globalement bien et les poissons affichent une forme éblouissante», assure Mylène Aïfa, présidente du comité de gestion de la Zone côtière ouest.
Elle chapeaute l’une des six structures mises en place en Nouvelle-Calédonie pour veiller à la conservation des sites de la Grande terre et des îles Loyauté, soit 15.743 km2 et 60% des lagons, inscrits en juillet 2008 à l’Unesco.
Recelant plus de 300 espèces de coraux, 1.600 espèces de poissons ou encore des dizaines d’espèces d’oiseaux et de mammifères marins, les récifs coralliens calédoniens figurent parmi les plus riches et les plus diversifiés du monde.
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