Claudine André se bat pour protéger les grands singes. Elle décrypte leur mode de vie dans un livre qui vient de paraître.
Quand on la rencontre dans un café chic parisien, avec sa coupe de cheveux impeccable et son chemisier noir à pois blancs, on a du mal à imaginer que Claudine André passe la moitié de sa vie dans la brousse congolaise.
Il y a plus de vingt ans, la « maman des bonobos », comme on l’appelle à Kinshasa, est tombée sous le charme de ces singes « hippies de la forêt », connus pour régler leurs conflits par le sexe plutôt que par la violence, et qui partagent 98,7 % de leur patrimoine génétique avec nous. Elle se bat pour préserver cette espèce classée en danger. (…)
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