Chez les mammifères terrestres, avoir des kilos en trop est un désavantage, notamment à cause des difficultés que cela engendre pour se déplacer. Pour les éléphants de mer du Nord, en revanche, emmagasiner de la graisse les rend plus efficaces pour chasser, en modifiant leur flottabilité.
C’est ce qu’ont mis en évidence des chercheurs japonais et américains en quantifiant l’effort de nage (nombre de battements de nageoires par unité de distance) de femelles en quête de proies, au cours de leur migration sur la côte Pacifique nord-américaine. Leurs travaux ont été publiés le 5 novembre dans la revue Proceedings of the Royal Society B.
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Image Sophie Lautier