Lors d’une réunion destinée, entre autres, à définir le prochain quota d’abattages de loups en France, les associations Aspas et Férus ont quitté la pièce.
Le torchon brûle entre le gouvernement et les associations de protection des animaux. Les associations de défense du loup Aspas et Férus (membres du collectif Cap Loup) ont claqué la porte d’une réunion du Comité national sur l’animal, le jeudi 23 juin 2017 à Lyon.
Le débat allait porter sur les quotas d’abattages de loups (Canis lupus) de la saison 2017/ 2018. « Il n’est pas question que nos deux associations restent autour de cette table pour discuter de la fixation du nombre de spécimens dont la destruction pourra être autorisée pour la période 2017-2018« , ont-elles fait savoir dans un communiqué de presse. (…)
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