« Nous pensons que tous les animaux sont précieux, que toutes les traditions sont importantes, et nous essayons d’harmoniser les deux avec l’aide de la bioingénérie », explique Matthew Markus, co-Fondateur de la start-up américaine Pembient.
L’idée est simple : recréer, grâce à l’impression 3D, les produits animaux qui s’arrachent au marché noir : écailles de pangolin, cornes de rhinocéros, défenses d’éléphants…
Ces fruits du braconnage qui atteignent des valeurs exorbitantes à la vente attirent les convoitises, menaçant la survie d’espèces en danger d’extinction. En témoignent les chiffres du braconnage du rhinocéros en Afrique du Sud, en augmentation constante avec 1215 animaux tués en 2014 contre 1004 en 2013. (…)
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