Un consortium d’écologues (Canada, Mexique, Brésil, U.K., USA, France1, Australie) montre dans Biological Conservation pourquoi la fragmentation des habitats n’est pas nécessairement mauvaise pour la biodiversité.
En effet, les impacts négatifs attendus sur la base de ce qui est observé à l’échelle des fragments ne se retrouvent pas à l’échelle du paysage.
A cette échelle, l’accroissement de la diversité des habitats, la dilution des risques, les effets de complémentation entre types d’habitats, sont susceptibles de contrecarrer les effets négatifs observés à l’échelle des fragments individuels. (…)
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