Deux ans avant l’entrée en vigueur effective de l’accord de Paris en 2020, les tendances mondiales de consommation croissante des énergies fossiles et le ralentissement des efforts d’efficacité énergétique s’inscrivent dans une pente de réchauffement de plus de 4°C à la fin du siècle.
Les résultats de la France sont mauvais.
Certes, en 2017, le PIB mondial a cru de 3,7%. Mais cela ne saurait expliquer la contre-performance en matière de lutte contre les gaz à effet de serre. Les émissions planétaires ont en effet augmenté de 2% ! (…)
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