Grâce à une nouvelle technique d’analyse d’ADN, des chercheurs ont découvert que la plus grande partie du trafic illégal d’ivoire provient depuis ces dernières années du braconnage des éléphants dans principalement deux régions d’Afrique.
«Le fait de savoir désormais que l’essentiel de ce commerce transnational se situe principalement dans deux zones –l’une où sont chassés les éléphants de forêt et l’autre ceux de la savane–, permet d’y concentrer les efforts des autorités et d’éliminer la plus grande partie du braconnage», estime le professeur Samuel Wasser, professeur de biologie de l’Université de Washington à Seattle, principal auteur de cette recherche publiée jeudi dans la revue américaine Science.
Environ 50.000 éléphants africains sont abattus chaque année, soit près de 10% de leur population totale, a-t-il précisé, soulignant l’urgence à agir pour éviter l’extinction de ces animaux. (…)
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