Décidément, les ours polaires sont abonnés aux agressions environnementales. Non seulement le réchauffement climatique et la remontée spectaculaire des températures arctiques qu’il induit amenuisent le terrain de chasse de ces grands prédateurs – la banquise –, ainsi que la période de l’année où ils peuvent se gaver de graisse de phoque pour faire leurs réserves de lipides, mais voilà qu’en plus de cela la pollution s’attaque à leurs chances de bien se reproduire.
Le danger s’appelle polychlorobiphényles (plus connus sous leur abréviation de PCB) et la cible de cette famille de produits chimiques n’est rien d’autre que l’appareil reproducteur d’Ursus maritimus, l’animal emblématique du Septentrion.
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