Une étude menée sur une espèce particulière de requins endémique de l’Afrique du Sud, le Haploblepharus edwardsii, révèle que l’acidification des océans peut abîmer leur peau.
L’augmentation de la dissolution du CO2 dans les océans entraîne une augmentation de la concentration des ions H3O+ et une diminution des ions CO3 2− dans l’eau.
Ce processus conduit à une baisse du pH et à un phénomène désormais bien connu : l’acidification des océans.
Ce dioxyde de carbone que les océans absorbent provient des activités humaines et peut fragiliser les écosystèmes marins, notamment les animaux possédant une coquille.
Mais pas seulement. Une étude publiée le 19 décembre 2019 dans la revue Scientific Reports et menée par des chercheurs allemands et sud-africains, révèle que les requins peuvent aussi en faire les frais. (…)
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