Malgré des protections accrues, ce mammifère continue d’être exploité pour les besoins de la médecine traditionnelle chinoise, selon un rapport exclusif auquel National Geographic a pu avoir accès.
Les ventes de ses écailles pour satisfaire les besoins de la médecine traditionnelle chinoise et sa viande considérée comme un mets raffiné ont fait du pangolin le mammifère non-humain le plus trafiqué au monde. La survie de cette singulière créature était si menacée qu’en 2016, le commerce international des pangolins a été interdit.
Mais malgré ces mesures de protections, un nouveau rapport – auquel National Geographic a pu avoir accès en exclusivité – constate que les saisies d’écailles et de viande de pangolin par les autorités ont atteint un niveau record en 2019. À l’échelle mondiale, plus de 128 tonnes ont été interceptées, soit une augmentation de plus de 200 % par rapport à 2014. (…)
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