Ce puissant venin pourrait permettre de mieux comprendre certaines maladies, comme l’épilepsie, la schizophrénie et la douleur chronique, selon une équipe internationale.
Une équipe internationale de chercheurs est parvenue après plus de dix ans de recherches à percer le mystère du puissant venin du serpent corail, qui pourrait apporter des éclairages sur l’épilepsie, la schizophrénie et la douleur chronique, selon ses travaux publiés dans PNAS. Ses protéines n’ont aucun effet sur celles que ciblent la plupart des venins produits par les autres serpents et animaux. Ce venin rare contient une toxine qui active de façon permanente une protéine clé des cellules nerveuses provoquant des crises mortelles d’épilepsie chez les proies.
La suite de l’article sur le site de Sciences et Avenir : cliquez ici