Associations et scientifiques s’inquiètent d’un retard de l’arrivée de ces oiseaux migrateurs ou, pire, d’une chute des populations.
Sur l’île de Ré, Bernard attend toujours « ses » hirondelles. Quelques oiseaux éclaireurs sont bien arrivés en Charente-Maritime mais en apercevant trois de ces flèches filer au milieu des nuages, le retraité pense que d’habitude, les jolies voyageuses arrivent plus tôt et en plus grand nombre.
Bien vu. « Au niveau national, nous constatons un énorme décalage pour la migration des hirondelles comme d’autres oiseaux, s’inquiète Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue de protection des oiseaux (LPO). Si l’on n’a pas encore de décompte, on espère qu’il ne s’agit que d’un retard. A cette date, les emblématiques oiseaux à queue fendue devraient déjà nicher en France. Or l’on voit seulement les premières vagues se déclencher. » (…)
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