Un comité d’experts indépendants exonère l’ONG d’implication directe dans les violences commises par des écogardes, mais déplore une application laxiste de ses engagements.
Le Fonds mondial pour la nature (WWF) s’est engagé, mardi 24 novembre, à faire davantage pour que soient respectés les droits des populations concernées par ses opérations en faveur de la conservation.
Il prend ainsi acte des conclusions du groupe d’experts indépendants chargé d’enquêter sur les allégations de violences commises par les gardes de parcs nationaux dans lesquels il intervient.
L’ONG est aussi accusée de ne pas avoir suivi les règles de consultation des populations autochtones dans le projet de création d’une aire protégée au Congo. (…)
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