Scientifiques américains et canadiens tentent de comprendre le mal qui a coûté la vie à une trentaine de baleines du nord-ouest du continent depuis le mois de mai.
Une mortalité trois fois supérieure à la normale. Depuis le début du mois de mai, 30 baleines ont été retrouvées mortes dans les eaux glacées du golfe d’Alaska, aux Etats-Unis. Cette surmortalité inquiète les scientifiques.
D’autant que ces derniers ne sont pas encore parvenus à élucider les causes de l’hécatombe, confie Teri Rowles, coordinatrice nationale de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphériquee (NOAA), à la radio publique d’Alaska. Si la prolifération d’algues toxiques est pointée du doigt, les premiers tests n’ont pas permis d’étayer cette hypothèse, reconnaît l’agence sur son site web. (…)
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