Cornes de rhinocéros et écailles de pangolin réduites en poudre pour traiter le cancer, bile d’ours contre les problèmes de foie, ou encore liqueur d’os de tigre donnant force et vigueur…
Les exemples de remèdes de la médecine traditionnelle chinoise concoctés avec des parties d’animaux sont nombreux. En 2018, le marché de ces médicaments, plus ou moins efficaces (lire notre article), aurait pesé dans l’économie du pays quelque 34 milliards d’euros.
Ce commerce prospère est en augmentation de 11 % par an, depuis l’arrivée au pouvoir, en 2013, de Xi Jinping, fervent défenseur de la pratique.
La disparition des espèces provoquées par ce puissant lobby du médicament traditionnel, soutenu par le gouvernement, est donc difficile à endiguer.
La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (Cites) interdit pourtant le commerce des animaux concernés. (…)
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