En matière d’espérance de vie, les éléphants ne marchent pas tous sur un pied d’égalité, selon qu’ils ont été capturés dans la nature ou qu’ils sont nés en captivité. Les premiers vivraient ainsi cinq ans de moins que les seconds, selon une étude publiée mardi dans la revue scientifique Nature Communications.
Ses auteurs sont parvenus à ce résultat en analysant les données de l’industrie forestière en Birmanie, où près de 5.000 pachydermes vivent aujourd’hui en captivité, la majorité étant utilisée pour transporter du bois dans des lieux difficiles d’accès pour les véhicules. (…)
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