En regroupant toutes les données obtenues par le suivi de 4.000 animaux marins de l’Antarctique, des chercheurs ont pu déterminer les endroits de l’océan les plus riches en biodiversité.
Une avancée majeure pour une protection plus efficace de cet océan mal connu.
Tout est parti d’une conversation au sein du Comité scientifique pour les recherches arctiques (SCAR)l’organisme de rencontre des scientifiques travaillant sur ces contrées. “Avec mon collègue de l’université de Tasmanie Mark Hindell, on s’est dit que depuis le début des années 1990, les différentes opérations de tags d’animaux pour suivre leurs pérégrinations dans l’Antarctique devaient avoir produit pas mal de données, raconte Yan Ropert-Coudert, chercheur au Centre d’études biologiques de Chizé (CEBC, CNRS). Le souci, c’est qu’elles restaient chez les spécialistes de chaque espèce sans mise en commun des résultats.” (…)
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