Elles déferlent parfois par milliers sur les plages, au grand dam des baigneurs qui craignent leurs brûlures: entre surpêche, réchauffement des eaux et multiplication du plastique, les méduses profitent des bouleversements causés par les humains dans les océans.
La prolifération de ces animaux, apparus sur terre il y a environ 600 millions d’années, serait telle qu’elle provoquerait une « gélification » des océans, en piteuse santé comme devrait le montrer le rapport spécial des experts climat de l’ONU publié mercredi. (…)
La suite de l’article sur le site de GEO : cliquez ici