Lors de la gestation, les futures mères veillent à ce que les ressources autour d’elles ne soient pas limitées : de cela dépend la bonne santé de leur progéniture.
Mais parfois, les conditions ne sont pas réunies et l’animal doit s’adapter. C’est ce phénomène qu’on voulu observer des chercheurs américains accompagnés par Olivier Lourdais, scientifique français travaillant au Centre d’Etudes Biologiques de Chizé.
Ces derniers ont supposé que les protéines contenues dans les muscles peuvent servir de source interne d’eau pour le développement d’un embryon lorsque l’environnement est aride.
Les résultats de leurs travaux ont été publiés dans la prestigieuse revue Proceedings of the Royal Society B le 27 juin 2018. (…)
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