Une grande étude anglaise constate une baisse des populations d’abeilles sauvages après l’introduction de ces pesticides enrobés sur les semences.
En adoptant cet été la loi sur la biodiversité, le gouvernement français a décidé qu’à partir de 2018 les néonicotinoïdes, des insecticides commercialisés sous les marques Gaucho ou Cruiser et accusés d’avoir des effets néfastes sur les abeilles, seraient interdits dans notre pays. Mais cela n’a pas mis fin à la polémique portée par les industriels et les agriculteurs, qui dénoncent encore un manque de preuves sur l’impact de ces produits. Mais une grande étude britannique apporte de nouveaux éléments sur la toxicité des néonicotinoïdes, en constatant que l’introduction de ces pesticides s’est accompagnée d’une baisse des populations d’abeilles sauvages.
L’étude publiée cette semaine dans la revue Nature Communicationsest particulièrement intéressante car… Suite dans Le Figaro : ici