La sociabilité de certaines espèces animales n’est pas anodine : elle permet de favoriser la survie des individus qui composent le groupe.
Mais si ce système se base sur une association entre spécimens et peut donc être fragilisé si le groupe fait face à une mortalité accrue qui cause sa destructuration.
Partant de ce principe, des chercheurs français du CNRS et de l’Université de La Rochelle se sont intéressés aux effets d’une hausse de la mortalité d’un groupe d’orque (Orcinus orca), des animaux sociaux. (…)
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