Certains groupes de baleines et de dauphins possèdent des dialectes, des régimes alimentaires et des habitudes propres. Des différences culturelles que l’on a longtemps crues spécifiques aux humains.
John Ford voulait adopter le point de vue d’un cétacé.
Un jour de l’été 1978, un banc d’orques s’est précipité vers une plage de galets de l’île de Vancouver, en Colombie-Britannique.
Le jeune biologiste, qui attendait avec sa combinaison de plongée et son tuba, a appliqué son masque et s’est glissé dans la mer.
Dans des eaux profondes d’à peine 3m, les orques (ou épaulards) ont ralenti et se sont tournées sur le flanc.
Le corps en partie immergé, remuant leur nageoire caudale, elles ont commencé à se tortiller et se dandiner. Une par une, chacune frottait son flanc et son ventre contre les pierres du fond. (…)
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