En milieu urbain, la diversité des araignées, des mille-pattes et des insectes est plus grande dans les habitations des quartiers cossus, selon une étude menée aux États-Unis. Ce serait probablement dû à la végétation extérieure, généralement plus abondante.
Où que nous vivions, nous partageons notre intérieur avec des animaux, qu’ils y soient les bienvenus quand il s’agit d’animaux de compagnie, ou qu’ils n’y soient pas vraiment invités, comme les mouches, les araignées et autres puces… Dans l’inconscient collectif, les beaux quartiers sont plutôt perçus comme des lieux dépourvus d’insectes nuisibles et autres animaux rampants ou volants. Pourtant, l’étude de la biodiversité à proximité des habitations montre qu’il existe un « effet luxe » : la richesse d’un lieu semble corrélée à la biodiversité présente dans l’environnement…
Suite de l’article de Marie-Céline Jacquier dans Futura-Sciences : ici