La pollution, les résidus de pesticides, les traces de médicaments sont autant de risques de maladie et de cancer. En particulier pour les animaux.
Les animaux n’échappent pas aux cancers. Les sauvages pas plus que les autres. Et si le nombre de cancers est en partie lié à la pollution chez l’homme, pourquoi en irait-il différemment chez eux? Ainsi, une étude menée conjointement par le CNRS, les universités américaines d’Arizona et de Louisiane et l’université australienne Deakin, à Geelong, suggère que les activités humaines pourraient bien conduire à une augmentation du nombre de cancers dans la faune sauvage. (…)
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