Elle reste peu connue, mais représente pourtant la moitié de la planète. La haute mer désigne cet immense espace qui s’étend au-delà des zones maritimes régies par des juridictions nationales, soit près des deux tiers des océans.
Pour l’heure, elle constitue surtout une sorte de Far West sans règles, mais susceptible d’aiguiser beaucoup de convoitises. Lors de la conférence qui lui était consacrée par les Nations-unies et qui s’est achevée vendredi 23 janvier à New York, après quatre jours de délibérations, une large majorité d’États a décidé qu’il était temps d’entamer des négociations diplomatiques afin de parvenir – un jour -, à définir par quel moyen protéger la biodiversité marine.
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