La disparition programmée du rhinocéros, du tigre, de l’orang outang, la destruction de la forêt amazonienne, la pollution au mercure des zones les plus reculées de l’Arctique, la liste est longue de toutes les avanies que l’homme fait subir à la planète.
Réunis à Sharm el Sheikh (Egypte) du 19 au 30 novembre, les négociateurs de la Convention sur la biodiversité signée à Rio de Janeiro en 1992 réunis pour la quatorzième fois (contre 24 pour le climat), connaissent bien ce bilan.
En 2010 à Nagoya (Japon), ces représentants des 195 Etats signataires de la convention avaient décidé d’un ambitieux agenda où il était décidé entre autre, l’arrêt de la déforestation partout dans le monde ou encore la fin de la surpêche.
A deux ans de l’échéance, force est de reconnaître que peu d’objectifs ont été atteints. (…)
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