Les conséquences catastrophiques d’une disparition des insectes pollinisateurs font régulièrement l’actualité. Mais d’autres espèces nécessaires à la reproduction des plantes restent bien souvent dans l’ombre.
Oiseaux, primates, rongeurs, marsupiaux et même lézards pollinisateurs ont donc fait l’objet d’une méta-analyse (analyse synthétique de la littérature scientifique) menée par des chercheurs britanniques.
Ces derniers ont épluché les résultats de 126 expériences et ont rapporté leurs conclusions en février 2018 dans la revue Frontiers in Ecology and the Environment.
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