À l’heure où les chasseurs ciblent les ours polaires les plus imposants pour leurs fourrures luxueuses, un chercheur craint que nous ne soyons en train d’inverser la sélection naturelle.
De nombreux pays à travers le monde s’accordent à dire que l’avenir des ours polaires est incertain : ils sont considérés comme menacés aux États-Unis, étiquetés « espèce préoccupante » au Canada et classés « vulnérables » à l’international. Pourtant, sur la majorité de leur territoire enneigé, il est tout à fait légal de les tuer.
Le Canada abrite près des deux tiers de la population mondiale d’ours polaires estimée à 25 000 représentants. Dans le pays, ces animaux sont chassés à la fois pour leur viande et leur épaisse fourrure blanche. Le gouvernement canadien et les groupes de conservation ont pendant longtemps soutenu que la chasse à l’ours polaire était durable au Canada. Cependant, dans son nouveau livre Polar Bears and Humans, l’auteur et chercheur spécialiste des ours polaires Ole Liodden soutient le contraire. (…)
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