Quand la Norvège a décidé il y a dix ans de payer le petit pays sud-américain du Guyana, recouvert de forêts, pour qu’il réduise la déforestation, l’efficacité du concept restait à prouver.
Elle l’est désormais, selon une étude parue lundi 18 novembre 2019 aux États-Unis.
Ce type de programmes internationaux – argent contre forêts – s’est décliné sous des centaines de formes depuis la décennie 2000, et est connu sous l’acronyme de REDD+, qui signifie réduire les émissions (de gaz à effet de serre) dues à la déforestation et à la dégradation.
Les forêts sont des puits de carbone, grâce à la photosynthèse : couper un arbre est donc l’équivalent d’émissions de dioxyde de carbone. (…)
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