Les volumes de poissons pêchés dans le monde sont largement sous-estimés, selon une étude publiée mardi, qui montre aussi que le déclin des stocks est plus rapide que prévu, un constat préoccupant pour les ressources alimentaires de nombreux pays.
«C’est comme si le monde effectuait des retraits à un grand distributeur de poissons, sans savoir ce qui a été déjà retiré, ni ce qu’il reste», résume Daniel Pauly, chercheur à l’Université de British Columbia (Canada) qui a codirigé avec Dirk Zeller l’étude parue dans Nature communications. (…)
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