Face à ce qu’elle qualifie de « montée en puissance d’un collectif anti-phoque au niveau local », Sea Shepherd France a décidé d’en faire une de ses priorités, affirme-t-elle dans un communiqué.
L’association s’est ainsi portée partie civile aux côtés du groupement pour la défense de l’environnement de Montreuil et du Pas-de-Calais(GDEAM-62), qui avait découvert deux phoques tués le 29 avril près du Touquet.
10.000 euros de récompense
Plus encore, Sea Shepherd double le montant de la récompense déjà promise pour le premier phoque tué en début d’année. Elle promet ainsi 10.000 euros pour « toute information probante qui permettrait aux autorités d’identifier le ou les coupables », annonce sa présidente Lamya Essemlali dans un article de Nord Littoral.
En janvier dernier, un autre phoque avait en effet été abattu, à Oye-Plage, près de Calais.
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