De la tique à l’abeille en passant par la corneille, le cerf, le rat, le cochon ou le lapin, Peter Wohlleben, auteur de « la Vie secrète des arbres », nous explique désormais dans « la Vie secrète des animaux » que les sentiments ne sont pas le propre de l’homme. Extraits.
« Si l’hirondelle mâle ne trouve pas sa femelle au nid à son retour, il pousse un cri d’alarme. La femelle, qui s’imagine qu’un danger approche, revient au nid fissa. Cette fausse alerte permet au mâle d’empêcher la femelle de lui être infidèle en son absence. Quand les œufs sont pondus, il ne se fait plus de souci, et les cris trompeurs cessent. Autre exemple de cette capacité à tromper : celui des mésanges charbonnières, que l’on trouve un peu partout, et qui n’hésitent pas, au besoin, à raconter des histoires. Car quand il s’agit de manger, charité bien ordonnée commence par soi-même. (…)
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