Lundi 29 octobre, Pékin annonçait la reprise de l’utilisation « à des fins médicales » de l’os de tigre et de la corne de rhinocéros. La directive mettait brutalement fin à vingt-cinq années d’interdiction, relançant la polémique sur le rôle de la Chine dans le braconnage et l’extinction des espèces animales protégées.
Cette annonce surprise avait provoqué une levée de boucliers de la part des ONG de protection de la nature. « Un arrêt de mort »,dénonçait Iris Ho, de l’ONG Humane Society International, avec « des conséquences dévastatrices », selon le Fonds mondial pour la nature (WWF). Pour la première fois peut-être, cette mobilisation de la société civile a porté ses fruits : Pékin a annoncé tout aussi subitement, lundi 12 novembre, le prolongement de l’interdiction.
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