Les contes de fées ont la vie dure. Du Petit chaperon rouge à la bête du Gévaudan, les loups ont mauvaise réputation: mangeurs d’enfants voire de mère-grand, animaux sanguinaires, porteurs de maladie… La réhabilitation pourrait venir du film de Jean-Jacques Annaud, Le dernier loup, en salle le 25 février.
Même si le réalisateur refuse de prendre parti dans le combat entre associations de protection du loup et éleveurs d’ovins en France, son film pourrait lui valoir des réflexions aussi sévères que celles qui ont suivi la sortie de L’Ours, en 1988: «A Auch (Gers), un homme m’a demandé après la projection: « Ca vous fait quoi de faire un film à la gloire d’un animal nuisible? »», se souvient le réalisateur.
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