Depuis la crête du volcan Nyiragongo, autour du cratère fumant, des touristes admirent le chaudron de lave en ébullition en contrebas. Dans l’est ravagé par la guerre de la République démocratique du Congo (RDC), le Parc national des Virunga redevient, contre toute attente, une destination touristique.
Dans un bruit de mer déchaînée, l’un des plus vastes lacs de lave du monde, dans l’un des volcans les plus actifs, crache vers le ciel rougeoyant des pierres en feu: les responsables du parc, rouvert l’an dernier après l’éloignement de la ligne de front, misent sur ce fascinant spectacle pour faire revenir les touristes indispensables à la survie des Virunga.
Jalonné de collines verdoyantes couvertes de forêts noyées dans la brume, le plus ancien parc national d’Afrique, ouvert en 1925, abrite aussi une biodiversité exceptionnelle, dont le quart de la population survivante des gorilles de montagne, espèce gravement menacée. (…)
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