Si le cheval de Przewalski avait le choix, il opterait pour une étable confortable et de l’avoine fraîche tous les matins, plaisantent les chercheurs qui étudient le tout dernier cheval sauvage ayant survécu jusqu’à nos jours.
Mais le chemin vers la réintroduction de l’espèce — éteinte dans la nature il y a une vingtaine d’années et reparue aujourd’hui — passe plutôt par son installation dans les steppes désertes de Chine, de Mongolie et, plus récemment de Russie, avec leurs neiges épaisses et leurs vents glacials. (…)
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