Face à la hausse des températures, les animaux ont le choix entre trois stratégies d’adaptation : changer de zone de vie pour aller vers des régions plus fraîches, modifier les dates de reproduction et d’étapes de croissance, ou bien encore réduire leur taille.
Cette adaptation morphologique est la plus radicale. Elle commence à être bien documentée pour les animaux à sang chaud et les poissons.
Mais pour les insectes, seules des expériences en laboratoire donnent des indices d’une réaction similaire. Une équipe de l’Université de Colombie-Britannique (UBC, Canada) a eu l’idée d’exploiter les collections entomologiques de leur établissement vieilles d’un siècle.
Les chercheurs confirment ainsi une adaptation des scarabées par la réduction de leur anatomie, un résultat que vient de publier Journal of animal ecology. (…)
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