La bataille fait rage autour de la Grande barrière de corail Australienne, joyau du patrimoine mondial de l’humanité où les entreprises de tourisme redoutent que les avertissements apocalyptiques des scientifiques ne fassent fuir les visiteurs.
Chaque année, plus de deux millions de touristes armés de masques et de tubas se rendent sur le récif qui constitue le plus vaste ensemble corallien du monde. Ils dépensent l’équivalent de 3,7 milliards d’euros et donnent du travail à 64.000 personnes.
Mais la hausse des températures de l’eau liée au réchauffement climatique a endommagé le récif qui a été victime de graves épisodes de blanchissement. L’industrie du tourisme craint les répercussions sur le nombre de visiteurs.
Le Centre de recherche sur les récifs et les forêts pluviales vient cependant de créer la surprise dans un rapport annonçant « des signes significatifs de régénération » dans les principaux spots de plongée autour de Cairns. (…)
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