Photographe, défenseur de l’environnement et insatiable explorateur des pôles, le Franco-britannico-américain Sebastian Copeland sort un nouvel ouvrage consacré au continent blanc : Antarctica, the waking giant (éd. Rizzoli, 2020), préfacé par Leonardo DiCaprio.
Du géant qui s’éveille à l’éveil des consciences, il témoigne.
Leonardo DiCaprio a beau signer la préface de son nouveau livre, le photographe franco-britannico-américain Sebastian Copeland, 56 ans, préfère la compagnie des manchots papous à celle des stars d’Hollywood.
Pendant des années – c’était à ses débuts – le fils du chef d’orchestre Jean-Claude Casadesus en a pourtant photographié une palanquée (des stars, pas des oiseaux marins), avant de se consacrer aux pôles et à la glaciologie, ses premières amours, faisant de l’image « une arme au service de la science ».