A l’abri des regards par de hauts remparts du fort Foch à Niederhausbergen, se trouve le centre de primatologie de l’Université de Strasbourg. Un lieu hautement protégé, discret auprès du grand public sur ses travaux et ses infrastructures pour des raisons de sécurité.
Le centre soulève régulièrement de vives contestations chez les défenseurs de la cause animale et les opposants aux méthodes d’expérimentations médicales sur les animaux.
Depuis l’annonce de l’extension du centre qui doublerait sa capacité d’accueil des singes, passant de 800 à 1600 (630 actuellement), le centre de primatologie s’est attiré une fois encore les foudres des militants, dont certains ont entamé une grève de la faim. (…)
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