Si les paramètres du vol migratoire sont connus pour de gros oiseaux, celui des espèces les plus petites reste encore mystérieux car il est difficile de les appareiller sans affecter leurs capacités physiques.
En effet, les balises ne doivent pas excéder 3% du poids de l’animal. Les récents progrès dans la miniaturisation de ces appareils permettent désormais de suivre cependant leur activité.
C’est ce que vient de faire une équipe de l’Université Lund (Suède) en réussissant à fixer un enregistreur d’activité avec des capteurs de température et de pression sur deux minuscules passereaux : une pie grièche écorcheur (Lanius collurio) et une rousserolle turdoïde (Acrocephalus arundinaceus).
Leurs résultats viennent d’être publiés dans Journal of avian biology. (…)
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