Ils viennent peut-être des Pays-Bas, de Finlande ou de Russie.
De juillet à novembre, sur le terril de Dourges (Pas-de-Calais), il suffit de lever le nez pour voir passer des petits groupes d’oiseaux en migration postnuptiale.
Déterminés malgré les nombreux kilomètres qu’ils ont déjà survolés, ils tracent leur route, cap vers le sud, pour passer leurs quartiers d’hiver.
« Cela se voit à leur façon de voler », explique Vincent Cohez, directeur technique de l’association Chaîne des terrils. Pas comme ces deux gros pigeons qui virevoltent sans but manifeste à quelques mètres du sol, donc. (…)
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