Pour The Conversation, Olivier Adam (Sorbonne Université) revient sur les raisons de ces échouages, naturelles ou liées à des activités humaines
« En 2022, on se souvient tous de l’orque Sedna qui remonta la Seine. Puis, ce fut au tour du béluga, de la baleine coincée dans l’embouchure de la Rance en février 2023, et du baleineau isolé dans un port en Martinique en avril 2023. Fin août 2023, c’est également un baleineau qui s’est retrouvé prisonnier dans le lagon à la Réunion, séparé de sa mère.
Leur point commun : ces cétacés étaient tous isolés et ont été découverts rapidement. Mais si certaines interventions se sont « bien terminées » (par exemple pour la baleine de la Rance), d’autres ont montré certaines limites dans la préparation et la mise en œuvre de l’intervention, avec au final des issues tragiques (pour l’orque, le béluga et les baleineaux à la Martinique et à la Réunion).
Est-il possible de faire mieux pour sauver des cétacés en détresse ? Peut-on améliorer le taux de réussite des interventions de sauvetage en France ? »… Suite et fin article sur The Conversation
Source : The Conversation, Publié: 13 septembre 2023,
Photo : Baleine échouée /Le Dauphiné